Paul Victor GRANDHOMME (Paris 1851-Saint Briac sur mer 1944) Muse de la mer Plaque en cuivre à décor en émaux polychromes et dorés d'une jeune fille dénudée contemplative devant un paysage de bords de mer avec rochers, mouettes, crabe et algues. Le dos en émaux bleu, vert et blanc sur un fond doré est à décor d'un blason orné d'un ruban sur lequel est inscrit Grandhomme fecit E. C. 88 (Légers fêles à l'émail à partie haute) Cadre d'origine en métal argenté finement ciselé à motif de coquilles, blasons et feuille stylisées 10,4 x 9 cm Après avoir commencé une carrière de bijoutier Paul Victor Grandhomme se découvre une passion pour les arts du feu en même temps qu'il entre dans l'atelier de Puvis de Chavannes et s'entoure des conseils de ses amis peintres Jules Elie Delaunay et Raphaël Collin Il collabore aux travaux d'orfèvrerie et d'émail des plus grands, Bapst, Falize, Fouquet, Vever, en même temps qu'il expose ses tableaux au salon dès 1874. Ce n'est qu'à partir de 1888 qu'il rencontre et collabore avec Alfred Garnier, les deux artistes s'inspirent alors des oeuvres de Gustave Moreau Notre émail datant de cette année précise, est à rapprocher de plusieurs autres de ses oeuvres : Chanson de la mer,Oréade, Nymphe des grèves, et surtout Océanide conservée au musée de Genève.
Paul Victor GRANDHOMME (Paris 1851-Saint Briac sur mer 1944) Muse de la mer Plaque en cuivre à décor en émaux polychromes et dorés d'une jeune fille dénudée contemplative devant un paysage de bords de mer avec rochers, mouettes, crabe et algues. Le dos en émaux bleu, vert et blanc sur un fond doré est à décor d'un blason orné d'un ruban sur lequel est inscrit Grandhomme fecit E. C. 88 (Légers fêles à l'émail à partie haute) Cadre d'origine en métal argenté finement ciselé à motif de coquilles, blasons et feuille stylisées 10,4 x 9 cm Après avoir commencé une carrière de bijoutier Paul Victor Grandhomme se découvre une passion pour les arts du feu en même temps qu'il entre dans l'atelier de Puvis de Chavannes et s'entoure des conseils de ses amis peintres Jules Elie Delaunay et Raphaël Collin Il collabore aux travaux d'orfèvrerie et d'émail des plus grands, Bapst, Falize, Fouquet, Vever, en même temps qu'il expose ses tableaux au salon dès 1874. Ce n'est qu'à partir de 1888 qu'il rencontre et collabore avec Alfred Garnier, les deux artistes s'inspirent alors des oeuvres de Gustave Moreau Notre émail datant de cette année précise, est à rapprocher de plusieurs autres de ses oeuvres : Chanson de la mer,Oréade, Nymphe des grèves, et surtout Océanide conservée au musée de Genève.
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