Maurice-Quentin de La TOUR (1703-1768), d’après Ecole française du XIXe siècle Portrait de Marie Leszczynska, reine de France Miniature rectangulaire 8,5 x 6,5 cm Sous verre. Cadre en bronze doré et ciselé B.E. Provenance : Collection Norbert de Beaulieu Biographie : Marie LESZCZYNSKA (Trzebnica, 23 juin 1703 – Versailles, 24 juin 1768) est la seconde fille de Catherine Opalinska et de Stanislas Ier Leszczynski, roi de Pologne entre 1704 et 1709. Elle fut reine de France par son mariage avec Louis XV en 1725 et par son fils le dauphin Louis qui épousa Marie-Josèphe de Saxe, elle est la grand-mère des trois derniers rois de Fran ce, Louis XVI, Louis XVIII et Charles X. Laissée à l’écart des affaires et peu considérée par la Cour, elle se consacra à son couvent fondé à Versailles pour l’instruction des jeunes filles pauvres, aujourd’hui le lycée Hoche. Elle veilla à l’éducation morale et religieuse du dauphin son fils qui décéda trois ans avant elle en 1765. Délaissée peu à peu par le roi, même s’il garda pour elle une profonde affection, elle s’adonna à la dévotion et prit sous sa protection un très grand nombre d’oeuvres charitables, contribuant notamment à la diffusion du culte du Sacré-Coeur. OEuvre en rapport : Musée du Louvre, Maurice-Quentin de LA TOUR « Portrait de Marie Leczinska, reine de France », 1748.
Maurice-Quentin de La TOUR (1703-1768), d’après Ecole française du XIXe siècle Portrait de Marie Leszczynska, reine de France Miniature rectangulaire 8,5 x 6,5 cm Sous verre. Cadre en bronze doré et ciselé B.E. Provenance : Collection Norbert de Beaulieu Biographie : Marie LESZCZYNSKA (Trzebnica, 23 juin 1703 – Versailles, 24 juin 1768) est la seconde fille de Catherine Opalinska et de Stanislas Ier Leszczynski, roi de Pologne entre 1704 et 1709. Elle fut reine de France par son mariage avec Louis XV en 1725 et par son fils le dauphin Louis qui épousa Marie-Josèphe de Saxe, elle est la grand-mère des trois derniers rois de Fran ce, Louis XVI, Louis XVIII et Charles X. Laissée à l’écart des affaires et peu considérée par la Cour, elle se consacra à son couvent fondé à Versailles pour l’instruction des jeunes filles pauvres, aujourd’hui le lycée Hoche. Elle veilla à l’éducation morale et religieuse du dauphin son fils qui décéda trois ans avant elle en 1765. Délaissée peu à peu par le roi, même s’il garda pour elle une profonde affection, elle s’adonna à la dévotion et prit sous sa protection un très grand nombre d’oeuvres charitables, contribuant notamment à la diffusion du culte du Sacré-Coeur. OEuvre en rapport : Musée du Louvre, Maurice-Quentin de LA TOUR « Portrait de Marie Leczinska, reine de France », 1748.
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